Dans un environnement où se distinguer et convaincre sont devenus des enjeux majeurs, la présentation PowerPoint reste un outil puissant et incontournable pour les agences. Deux experts, Arnaud Longueville (co-CEO de mprez) et Julien Bouey (directeur conseil chez Extreme Society), partagent ici leur regard éclairé sur les bonnes pratiques, les pièges à éviter, et l’importance stratégique du slide design et du storytelling JUPDLC+1.
Usage courant vs usage stratégique
- Usage interne quotidien : PowerPoint sert à structurer des idées, prendre des notes, collaborer, créer des moodboards. Flexible, il facilite la communication au sein des équipes JUPDLC.
- Usage stratégique externe : Lors des pitchs ou appels d’offres, les présentations sont travaillées comme de véritables pièces marquantes, portées par un « effet waouh » recherché JUPDLC.
Julien Bouey insiste sur leur importance : ces supports sont souvent conservés par le client, un témoignage durable du professionnalisme et de la créativité de l’agence JUPDLC.
Une bonne présentation : équilibre entre structure et personnalisation
- Structure fluide : L’attente est d’avoir un cheminement clair, adapté à son audience. Identifier les codes du public visé est fondamental JUPDLC.
- Design juste : Le visuel doit sublimer le discours, sans le noyer. C’est l’équilibre précieux entre message et esthétique qui fait la différence JUPDLC.
- Personnalisation : On détecte instantanément une présentation pensée pour un client spécifique, ce qui renforce son impact JUPDLC.
- Formats modernes : Des outils comme Ludus permettent de créer des présentations interactives, fluides, presque comme des pages web JUPDLC.
Fond vs forme : un équilibre essentiel
Ni l’un ni l’autre ne doit prendre le pas : un fond solide ne se révèle qu’avec une forme claire, et un visuel séduisant doit servir une structure efficace. L’équilibre est au cœur de toute présentation réussie JUPDLC.
Les deux pièges à éviter
- Incohérence visuelle : Un style qui change slide après slide fait perdre en crédibilité.
- Répétition inutile : Un contenu trop redondant dilue le discours et lasse l’audience JUPDLC.
Un levier décisif pour influencer les décisions
Arnaud Longueville estime que dans une soutenance, la présentation peut compter pour 30 à 40 % de la décision finale. Elle prolonge le storytelling et permet au client de se projeter JUPDLC.
Julien Bouey renchérit : ce n’est pas seulement le contenu qui est jugé, mais la manière de le faire vivre. Dans les enjeux critiques comme l’appel d’offres, la qualité de la présentation est souvent décisive JUPDLC.
Storytelling et structure : deux faces d’une même pièce
Une bonne présentation raconte une histoire — avec un début, un développement et une conclusion claire. Le storytelling, ce n’est pas de l’emphase dramatique, mais un propos articulé de façon stratégique pour faciliter la compréhension et renforcer l’impact JUPDLC.
Pourquoi les agences hésitent-elles encore ?
- Un manque de confiance dans l’outil — jugé rigide ou secondaire.
- L’absence de temps ou de méthode pour exploiter pleinement PowerPoint.
- Un fossé entre les équipes non créatives (parfois peu à l’aise avec l’outil) et les designers (qui le considèrent parfois moins prestigieux que d’autres logiciels) JUPDLC+1.
Réhabiliter PowerPoint : mode d’emploi
- Revaloriser l’outil : Faire comprendre qu’il s’agit d’un levier stratégique puissant, pas d’un simple support.
- Former les équipes : Enseigner les bonnes pratiques et encourager la collaboration entre profils créatifs et stratégiques.
- Savoir externaliser : Reconnaître quand un recours à des spécialistes comme mprez permet de révéler tout le potentiel d’un projet JUPDLC.
Pour conclure…
Arnaud Longueville encourage à voir chaque présentation comme une opportunité de créativité : personnalisation, audace formelle, clarté du propos, et impact stratégique tous réunis. Julien Bouey rappelle l’importance de définir ce que l’on veut que le public retienne, et de s’ouvrir à un regard externe pour enrichir sa performance JUPDLC.